Comment les neurosciences révolutionnent la compréhension du TDAH

Un regard scientifique sur le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité

 

Le rôle des neurotransmetteurs dans le TDAH

Les neurosciences ont démontré que le TDAH est lié à un dysfonctionnement des neurotransmetteurs, notamment la dopamine et la noradrénaline. Ces substances chimiques jouent un rôle clé dans l’attention, la motivation et l’autorégulation.

Le Dr Russell Barkley, spécialiste du TDAH, explique :

« Le TDAH est un trouble de l’autorégulation et de la gestion du temps, et non un simple problème d’attention. Il est ancré dans la biologie du cerveau. »

Des études d’imagerie cérébrale montrent que les personnes atteintes de TDAH ont une activité réduite dans le cortex préfrontal, la région responsable du contrôle des impulsions et de la planification (Castellanos et al., 2002).

L’impact des neurosciences sur les traitements

Grâce aux neurosciences, les traitements du TDAH sont améliorés. Les médicaments comme le méthylphénidate (Ritaline) et les approches comportementales ciblent désormais les mécanismes cérébraux impliqués.

💡 À retenir :

 Les neurosciences permettent de mieux comprendre le TDAH et d’adapter les traitements pour améliorer la vie des patients..

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